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Steve Bug : Le Maître de la Musique Électronique

today5 août 2023 34

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Steve Bug : Le Maître de la Musique Électronique

Né Stefan Brügesch à Nienburg, en Basse-Saxe, Steve Bug a commencé sa vie professionnelle en tant que coiffeur avant de succomber à la musique électronique. Il a commencé par des sets de DJ à Bremen et Hambourg, ce qui a conduit à une petite résidence à Ibiza en 1991. Cette expérience a renforcé sa réputation et a conduit à une invitation à jouer à la prestigieuse Love Parade plus tard cette année-là.

Carrière

Sa carrière de producteur de musique a commencé quelques années plus tard avec la sortie de « Bride & Bridegroom » sur le label Superstition. Plusieurs autres sorties sur des labels plus petits ont suivi, et en 1996, il a lancé son premier label, Raw Elements. Sur ce label, il a sorti ses deux premiers albums : la compilation « Released Tracks » (1996) et « Volksworld » (1997). Cependant, le label a été de courte durée, car Bug a décidé de lancer deux autres labels – Poker Flat et Dessous – en 1998. Chaque label avait sa propre esthétique en tête, avec Poker Flat se concentrant sur des sorties tech-house pour la piste de danse et Dessous se concentrant sur des sons deep house et downtempo.

Collaborations et Mixes

Il n’a pas fallu longtemps pour que Poker Flat se retrouve avec plusieurs sous-labels – Audiomatique, B-Series, et Traffic Signs sont tous apparus dans l’année suivante, tandis que la réputation de Bug grandissait grâce en grande partie à des collaborations avec Richie Hawtin et le maestro du tech-house de Chicago, Common Factor, pour leurs labels Minus et Tactile, respectivement. Ses séries de mixes « Da Minimal Funk » et « Bugnology » ont constamment établi la norme pour les sets de DJ minimalistes.

Reconnaissance Internationale

Bug a tranquillement établi une réputation internationale pour ses sets de DJ ainsi que pour ses productions, et a continué à enregistrer pour ses propres labels ainsi que pour d’autres dans le monde entier. Il a sorti tous ses albums suivants sur Poker Flat : « The Other Day » (2000), « Sensual » (2002), le très explicite « Collaboratory » (2009), le mature et émotionnel « Noir » (2012), et la collaboration avec Langenberg « Paradise Sold » (2018).

Conclusion

Durant le confinement de 2020 dû à la COVID-19, Bug s’est retiré dans son studio et a commencé à travailler sur un autre album. Se concentrant entièrement sur la production sans être redevable à la piste de danse, il a créé « Never Ending Winding Roads », un effort plus contemplatif et à tempo plus lent que son habitude, mais toujours ancré dans son son classique electro-house.

 

 

Écoutez sa musique sur Spotify

Écrit par: DZfrequency

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